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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 18:32


par Daniel Greenfield (traduction : Marcoroz) 

Qu’est-ce que la liberté, si ce n’est la liberté de critiquer, de poser des questions et d’exiger des réponses, ou simplement de se moquer des puissants ?

Dans le Dar al-Islam, depuis plus de mille ans, cette liberté n’existe pas. Toute remise en question est interdite. Aujourd’hui encore, poser des questions peut vous valoir la prison, même dans les pays musulmans "modérés".

En ordonnant le meurtre des poètes et des satiristes qui le critiquaient, Mahomet a été l’initiateur d’un carnage qui devait se poursuivre pendant plus d’un millénaire. Le musulman qui, aujourd’hui, appelle au meurtre des caricaturistes n’est pas un extrémiste ni quelqu’un qui déforme l’islam, il ne fait que se conformer à la doctrine islamique conventionnelle instituée depuis les débuts de cette religion sous les instructions de son prophète.

mohammedmugshot4colorsigned.jpgPour les médias et pour ceux qui défendent l’islam en Occident, telle est la vérité. S’ils y voyaient vraiment l’œuvre d’une infime minorité d’extrémistes incapables de tolérer la liberté d’expression, pourquoi la censureraient-ils de façon aussi agressive ?

Si seule une infime minorité d’extrémistes est fautive, pourquoi CNN et tous les grands journaux d’actualité ont-ils refusé de publier les caricatures de Mahomet ou les ont-ils censurées comme si elles étaient aussi injurieuses et aussi inacceptables à leurs yeux... qu’elles le sont pour les musulmans croyants ?

Quand on s’intéresse aux actes et aux paroles, ce sont toujours les actes qui révèlent la vérité, et non les paroles. Lorsque la chaîne Comedy Central, qui se vante d’attaquer toutes les formes de religion de la Terre, censure même les représentations les plus pudiques et les plus aimables de Mahomet, ses actes révèlent une vérité plus profonde et plus dérangeante que tout ce qu’elle peut dire.

On n’a pas si peur et on ne fait pas tant de compromis face à une infime minorité d’extrémistes, même si ces derniers sont susceptibles de verser dans des accès de violence hystérique. La violence, finalement, fait partie de ce monde.

Les médias et les groupes de presse sont-ils souvent terrifiés par les infimes minorités d’extrémistes qui existent dans la plupart des religions ? Non, c’est très rare. Qu’est-ce donc qui fait de l’islam un cas si particulier ? Tout correspondant étranger honnête pourrait répondre assez facilement à cette question.

La réponse est que ce n’est pas à une infime minorité qu’ils ont affaire, mais à une forte majorité qui est le produit d’une culture d’endoctrinement religieux ne tolérant pas la liberté d’expression. Et au lieu d’affronter cette réalité, ils ont choisi de fuir et de se cacher. En effet, pour l’affronter, il faudrait qu’ils remettent en cause leur propre politique, qui consiste à condamner la défense de la nation tout en admirant le radicalisme musulman. Il leur est plus facile de se taire que de faire les sacrifices idéologiques nécessaires pour pouvoir lutter contre la menace qui pèse sur les libertés du monde libre.

mohammedronald8signed2.jpgLors de la journée mondiale « Tout le monde dessine Mahomet », le public a relevé le défi devant lequel les médias préféraient fuir. Il a défendu l’héritage de la liberté d’expression en affrontant avec détermination ceux qui la rejetaient.


Pour ma part, je me suis dit qu’une bonne façon de participer à la journée « Tout le monde dessine Mahomet » pourrait être de faire des variations sur le dessin de Kurt Westergaard.

Pour ma première image, j’ai confronté les normes culturelles actuelles et celles de Mahomet en représentant un Mahomet qui devrait répondre devant un système judiciaire de type occidental de tout le saccage qu’il a provoqué.

Ma deuxième image montre Mahomet faisant la promotion du Bacon Burger. Les cheveux et la barbe de Mahomet, teints en roux, se confondent avec ceux de Ronald McDonald pour associer un symbole du consumérisme occidental à ce qui est devenu un symbole de la liberté d’expression. La vision d’un Mahomet jouant les hommes-sandwichs sur un marché mondialisé confronte les musulmans à cette réalité que la liberté d’expression, comme le fast-food, est aussi un produit mondial auquel ils ne peuvent pas espérer échapper.

mohammedflyingpigisrawalmirajsigned.jpg

Ma troisième image est une satire du voyage nocturne de Mahomet, cet ajout tardif à la mythologie islamique qui a servi à justifier le vol de ma terre et qui sert aujourd’hui à lancer des appels au génocide contre les Juifs dans le monde entier. Remettre en question cette mythologie toxique est important, non seulement pour la liberté d’expression mais aussi pour tout espoir de coexistence.

 

Daniel Greenfield est journaliste et administrateur du blog "Sultan Knish". Israélien de naissance, il vit actuellement à New York.

 

© 2010 – Sultan Knish (Daniel Greenfield)
© 2010 - Marcoroz pour la traduction
 

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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 17:39
Comment j’ai ouvert les yeux sur la barbarie de l’islam

par Phyllis Chesler
(traduit de l'anglais par Marcoroz)

Article paru dans The Times of London le 7 mars 2007

J’ai été prisonnière à Kaboul. Je m’étais fiancée avec un musulman afghan qui était charmant, séduisant et occidentalisé et dont j’avais fait la connaissance dans une université américaine. Le purdah auquel j’ai eu droit était relativement chic, mais une existence de femme séquestrée en permanence n’était pas ma tasse de thé – pas plus que l’hostilité des hommes envers les femmes sur la place publique, qu’elles soient voilées en totalité, voilées en partie ou non voilées.

À notre atterrissage à Kaboul, un fonctionnaire de l’aéroport m’avait confisqué en douce mon passeport américain. « Ne t’inquiète pas, ce n’est qu’une formalité », m’avait assuré mon mari. Ce passeport, je ne l’ai jamais revu. Plus tard, j’ai appris qu’on procédait habituellement de cette manière avec les épouses étrangères – probablement pour qu’il leur soit impossible de repartir. Du jour au lendemain, mon mari, un homme avec qui j’avais eu des discussions sur Camus, sur Dostoïevski, sur Tennessee Williams et sur le cinéma italien, est devenu pour moi un étranger. Il s’est mis à me traiter de la même manière que son père et son frère aîné traitaient leurs épouses : avec distance, et avec un soupçon de dédain et de gêne.

Pendant les deux années que nous avions déjà vécues ensemble, mon futur mari n’avait jamais mentionné une seule fois le fait que son père puisse avoir trois femmes et vingt-et-un enfants. Il ne m’avait pas non plus avertie que je serais censée vivre comme si j’avais été élevée en Afghanistan, ce qui voulait dire que je devrais passer la plus grande partie de mon temps cloîtrée en compagnie d’autres femmes, ne sortir que sous escorte masculine et passer mes journées à attendre le retour de mon mari, à rendre visite à d’autres femmes de sa famille ou à me faire confectionner de nouveaux vêtements (très chics au demeurant).

Aux États-Unis, mon mari était fier de fréquenter une rebelle-née, adepte de la libre-pensée. En Afghanistan, au contraire, à partir du moment où je critiquais le traitement réservé aux femmes et aux pauvres, je faisais de lui un suspect et un homme vulnérable. Il se moquait de mes réactions horrifiées, mais je savais bien ce que je voyais et ce que j’entendais. Je voyais ces pauvres femmes en tchador contraintes de s’asseoir à l’arrière de l’autobus et obligées, au bazar, de céder leur place dans la queue à tous les hommes qui arrivaient.
MARCOROZ

J’ai été témoin des souffrances et des rivalités entre co-épouses et entre demi-frères qu’entraînent les mariages polygames arrangés et les fiançailles avec des petites filles. J’ai vu à quel point la subordination et la séquestration des femmes engendraient un profond éloignement entre les sexes, avec pour conséquences la violence conjugale, le viol conjugal et une pratique aussi généralisée que niée de l’homosexualité et de la pédérastie chez les hommes, comme cela s’observe dans les prisons. J’ai vu comment les femmes frustrées, négligées et privées d’éducation maltraitaient leurs belles-filles et leurs domestiques, et comment on interdisait aux femmes de prier dans les mosquées et de consulter les médecins qui étaient des hommes (c’était le mari qui décrivait les symptômes, en l’absence de sa femme).
 REPRODUCTION INTERDITE SANS AUTORISATION

Pris individuellement, les Afghans étaient courtois et charmants ; mais l’Afghanistan, tel que je l’ai connu, était un bastion de l’analphabétisme, de la pauvreté et de la malhonnêteté, où proliféraient des maladies que l’on soigne ailleurs. C’était aussi un État policier, une monarchie féodale et une théocratie, où régnaient la terreur et la paranoïa. L’Afghanistan n’avait jamais été colonisé. Dans ma belle-famille, on disait : « Même les Britanniques n’ont jamais réussi à occuper notre pays. » J’ai donc été obligée d’en arriver à la conclusion que la barbarie afghane était une création locale et qu’il n’était pas possible de la mettre sur le compte de l’impérialisme occidental.
MARCOROZ

Bien avant l’arrivée des talibans, j’ai appris à ne pas idéaliser les pays du Tiers-monde et à ne pas prendre leurs horribles tyrans pour des libérateurs. J’ai aussi appris que l’apartheid sexuel et religieux dans les pays musulmans était indigène, qu’il n’était pas le résultat d’un quelconque crime occidental – et que de telles « coutumes tribales » pittoresques étaient un mal non pas relatif mais absolu. Bien avant que les hommes d’Al-Qaïda ne décapitent Daniel Pearl au Pakistan et Nicholas Berg en Irak, j’ai compris qu’il était dangereux pour un Occidental, et plus particulièrement pour une femme, de vivre dans un pays musulman. Rétrospectivement, je pense que mon soi-disant féminisme occidental a pris forme dans ce pays d’Orient, si beau et si traître.
MARCOROZ

Cela n’a pas empêché nombre d’idéologues et d’intellectuels occidentaux, entre autres les féministes, de me diaboliser et de faire de moi une réactionnaire, une raciste et une « islamophobe » parce que j’affirmais que le plus grand apartheid sexuel et religieux du monde était celui de l’islam, et non pas d’Israël, et que si les Occidentaux ne s’opposaient pas moralement, économiquement et militairement à cet apartheid, non seulement nous aurions le sang d’innocents sur nos mains, mais nous ne tarderions pas à subir la charia en Occident. J’ai été conspuée, menacée, boycottée et traitée en indésirable à cause de ces idées hérétiques – et parce que je dénonçais l’épidémie de violence entre musulmans dont, de façon insensée, on rend rituellement responsable ce tout petit pays qu’est Israël.
REPRODUCTION INTERDITE SANS AUTORISATION

Mes idées ont cependant été favorablement reçues par les personnes les plus braves et les plus éclairées qui soient. Des personnalités musulmanes laïques de premier plan et des dissidents de l’islam – d’Égypte, du Bangladesh, d’Iran, d’Irak, de Jordanie, du Pakistan, de Syrie, et des exilés venus d’Europe et d’Amérique du Nord – se sont réunis pour participer à une conférence historique en Floride et m’ont invitée à présider la session d’ouverture.
DROITS MARCOROZ

Ibn Warraq, qui présidait la conférence, a déclaré : « Ce qu’il nous faut maintenant, c’est un âge des Lumières dans le monde musulman. Faute d’un examen critique, l’islam restera dogmatique, fanatique et intolérant et continuera de réprimer les droits de la personne humaine, l’individualité, l’originalité et la vérité ». La conférence a donné lieu à une déclaration appelant à ce nouvel âge des « Lumières ». Dans cette déclaration, il a été proclamé que l’ « islamophobie » était une notion fausse, que l’islam était appelé à connaître « un avenir noble en tant que conviction religieuse personnelle et non pas en tant que doctrine politique » et qu’il fallait que l’islam « cesse d’être prisonnier des ambitions d’hommes assoiffés de pouvoir ».
DROITS MARCOROZ

Il est temps que les intellectuels occidentaux qui se prétendent antiracistes et attachés aux droits de la personne humaine rejoignent ces dissidents. Pour cela, il est nécessaire d’adopter un barème universel en matière de droits de l’homme et de renoncer à notre penchant pour ce relativisme multiculturel qui justifie et même idéalise la barbarie islamiste, le terrorisme totalitaire et la persécution des femmes, des minorités religieuses, des homosexuels et des intellectuels. Notre refus abject de trancher entre la civilisation et la barbarie et entre le rationalisme éclairé et le fondamentalisme théocratique est fatal aux victimes de la tyrannie islamique.
MARCOROZ

Ibn Warraq a écrit un ouvrage caustique, intitulé Defending the West: A Critique of Edward Said’s Orientalism. Les intellectuels occidentaux auront-ils, eux aussi, le courage de défendre l’Occident ?CE TEXTE ET SA TRADUCTION SONT DES OEUVRES D'AUTEUR


Phyllis Chesler est professeur émérite en psychologie, en études féminines et en psychothérapie à la City University of New York, expert près les tribunaux et auteur dune douzaine douvrages dont le best-seller mondial Les Femmes et la folie (Payot, 1975, rééd. 2006) et Le Nouvel antisémitisme
(Eska, 2005).


Avec l’aimable autorisation de l’auteur

© 2007 - Phyllis Chesler
 
© 2008 - Marcoroz pour la traduction
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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 18:16


par Yashiko Sagamori
- (traduit de l’anglais par Marcoroz)


Dans le conflit qui se déroule actuellement entre le monde musulman et la civilisation, n’avez-vous jamais pensé que les musulmans se comportaient d’une manière bien plus logique que l’Occident ?

Supposons que je sois persuadée que vous occupez illégalement, mettons, une île qui m’appartient de droit : j’enverrais alors des troupes sur cette île pour éliminer toute résistance que votre armée pourrait m’opposer et rétablir ma souveraineté sur ce morceau de terre. Dans un tel conflit, je n’aurais absolument pas besoin de prendre pour cible des civils : par quel angle qu’on le considère, ce serait non seulement immoral mais totalement contre-productif par rapport à mes objectifs. REPRODUCTION INTERDITE SAUF AUTORISATION ET EN CITANT LES SOURCES
Le djihad, en revanche, n’a rien à voir avec des territoires. Ce qui est visé, c’est un mode de vie. Si je voulais détruire votre mode de vie, m’en prendre à vos installations militaires serait passablement futile – surtout si votre puissance militaire est un milliard de fois plus grande que tout ce dont je pourrais jamais rêver. Or, votre armée, quelle que soit sa puissance, ne représente qu’une part infime de votre mode de vie. Faire sauter un immeuble de bureaux rempli de
« civils innocents » sert ma cause bien davantage et de façon bien plus convaincante (surtout si je peux penser que vous allez vous remettre vous-même en question au lieu de m’exterminer une fois pour toutes comme vous seriez parfaitement capable de le faire) que tuer le même nombre de soldats, précisément parce que ces civils représentent la partie la plus importante et la plus irremplaçable du mode de vie que j’essaie de détruire. Leur « innocence » ne veut rien dire. Ce terme n’est qu’un euphémisme absurde pour désigner leur absurde inaptitude à se défendre eux-mêmes. Réfléchissez-y : comment un infidèle pourrait-il être innocent ? Un infidèle innocent, n’est-ce pas une contradiction dans les termes ? REPRODUCTION INTERDITE SAUF AUTORISATION

Si vous pensez que je suis sarcastique, relisez le paragraphe qui précède : je suis simplement en train d’essayer d’expliquer que la mentalité de l’ennemi est mieux adaptée au conflit que la nôtre.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que la survie même de notre civilisation était en jeu (pourtant pas de façon aussi critique qu’aujourd’hui), les Américains ont traité les civils ennemis de façon plus raisonnable que ce que nous dicte notre moralité actuelle impotente et défaitiste. Hiroshima et Nagasaki ont été anéanties avec la plus grande partie de leur population cent pour cent civile, malgré l’absence de toute installation militaire dans chacune de ces deux agglomérations. C’est ce qui a entraîné la capitulation du Japon. Les vies d’environ un million de soldats américains ont ainsi été épargnées, et avec elles, probablement quatre à cinq fois plus de Japonais, pour la plupart des civils. Conclusion : le Japon n’aurait pas dû mettre les États-Unis dans une situation telle que même un geste humanitaire devenait si meurtrier pour les Japonais.

Depuis quelque temps, Israël se retrouve condamné quotidiennement pour avoir tué des
« civils » palestiniens. Or, rien ne peut être plus absurde si l’on considère que le « peuple palestinien » n’existait même pas avant les lendemains de la guerre des Six-jours, quand ce honteux abus de langage a été choisi pour nommer l’organisation terroriste la plus vaste et la plus prospère de l’Histoire. Un Arabe sur le glorieux chemin du « martyr » reste un civil désarmé jusqu’à ce qu’il s’attache des explosifs sur le corps. Ceux qui organisent des attentats terroristes sont considérés comme des civils désarmés tant que leur appartenance à une organisation terroriste n’est pas prouvée, de préférence devant un tribunal. Les femmes qui ont leurré treize soldats israéliens et les ont attirés dans un piège mortel à Jénine étaient des civils parfaitement désarmés. Louis Farrakhan et son armée sont considérés comme des civils désarmés. Les mosquées, ces avant-postes du djihad éparpillés à travers l’Europe et l’Amérique, sont considérées comme intouchables en tant qu’institutions religieuses.

Au passage, une pratique religieuse qui exigerait des sacrifices d’animaux provoquerait très certainement des protestations dans tout le pays et finirait par être déclarée hors-la-loi. Pourtant, cette religion qui exige des sacrifices humains à l’échelle du globe – la conversion, l’asservissement ou l’extermination de tout « infidèle » partout dans le monde – est considérée respectueusement comme une religion « monothéiste » et « abrahamique ». En réalité, c’est Satan en personne essayant maladroitement de se travestir en saint.

Tant que nous n’aurons pas commencé à traiter l’islam de la même manière que nous avons traité le nazisme, nous sommes promis à la destruction. Je ne suis pas en train d’appeler à un génocide contre les musulmans : notre victoire décisive dans la Seconde Guerre mondiale, nous l’avons obtenue sans exterminer les Allemands. Ce que nous avons exterminé, c’est le nazisme. Aujourd’hui, nous n’avons pas d’autre choix que d’exterminer l’idéologie la plus meurtrière qui ait jamais existé : l’islam. REPRODUCTION INTERDITE

Entre le monde actuel et la situation au début de la Seconde Guerre mondiale, je vois un certain nombre de
ressemblances. À l’unique exception de la Grande-Bretagne, pas un seul gouvernement n’avait tenté de s’opposer à Hitler. Si Hitler n’avait pas trahi Staline, l’Union Soviétique n’aurait eu aucune raison non plus de s’opposer à lui. Contrairement à un mythe répandu, les États-Unis ne sont pas entrés en guerre pour arrêter la Shoah, mais pour empêcher Staline de poursuivre son avancée jusqu’à la Manche et de créer l’Union Européenne avec quelques décennies d’avance.

Aujourd’hui, les musulmans envahissent les pays civilisés sous l’apparence anodine de l’immigration. Leur influence est en train de croître progressivement en Europe et même aux États-Unis, et elle continuera de croître sans rencontrer de résistance jusqu’à ce qu’enfin, nous nous réveillions, encore qu’il soit difficile de dire si nous nous réveillerons à temps pour sauver notre peau. Hypnotisés par nos propres dogmes paralysants, nous refusons obstinément de reconnaître la guerre éternelle des Arabes contre Israël, le 11 septembre, la guerre en Tchétchénie et les attentats terroristes un peu partout dans le monde pour ce qu’ils sont réellement : autant de fronts d’un djihad qui prend peu à peu de l’ampleur et dont l’objectif ouvertement déclaré est de détruire notre civilisation et d’instaurer un régime à côté duquel même celui des Talibans paraîtrait désespérément tolérant. Et jusqu’ici, ils sont en train de gagner la partie.
REPRODUCTION INTERDITE SAUF AUTORISATION - MENTION OBLIGATOIRE DE L'AUTEUR, DU TRADUCTEUR ET DU LIEN VERS CE SITE
Yashiko Sagamori est consultante en informatique à New York. 


© 2002 - Yashiko Sagamori -
http://middleeastfacts.com/yashiko/ 
© 2008 - Marcoroz pour la traduction

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